Dans le prolongement de La chute de cheval et Théâtre intime ce récit évoque Olivier, frère jumeau de l'auteur décédé à la veille de ses six ans. Convoquant sa mémoire et se référant à la littérature ou aux ouvrages scientifiques consacrés à la gémellité, J. Garcin témoigne de son rapport à la vie conditionné par le sentiment de la présence fantomatique de ce frère décédé.