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D'un côté, Elise apporte une touche résolument jazz. Au piano, elle enrichit les compositions d'harmonies délicieuses, inspirée par Ella Fitzgerald, Robert Glasper, Chucho Valdés, Roberto Fonseca, Sza, Mahalia ou encore Snoh Aalegra.

L'univers de Perynn est marqué par la pop, étant fanatique des Beatles depuis son adolescence. Son inspiration: les Anglaises Mae Muller, Amy Winehouse, mais aussi les géniaux Jacob Collier, Joshua Lee Turner et Bill Wurtz. Sans oublier des instrumentistes comme Katia Buniatišvili.
Perynn et Elise sont toutes les deux férues de polyphonie, ayant baigné dans le chant choral depuis toujours. Elles nourrissent une admiration pour les grandes chanteuses comme Beyoncé, Ariana Grande, Whitney Huston, Aretha Franklin, Maria Callas, Barbara Bonney, Cecilia Bartoli. EMEZI représente le désir de s'assumer comme on est, de ne s'imposer aucune limite, de s'autoriser à porter le regard au delà de cette culture bretonne qu'on connait bien.

1. Shonen Skread, Orelsan 2:33
2. La Quête Skread, Phazz, Orelsan 4:04
3. Du propre Skread, Orelsan 3:47
4. Bébéboa Eddie Purple, Orelsan 3:02
5. Rêve mieux Phazz, Orelsan 3:44
6. Seul avec du monde autour Skread, Orelsan 3:28
7. Manifeste Skread, Orelsan 7:22
8. L'Odeur de l'essence Skread, Phazz, Orelsan 4:42
9. Jour meilleur Skread, Orelsan 3:01
10. Baise le monde Skread, Orelsan 3:45
11. Casseurs Flowters Infinity (featuring Gringe) Skread, Orelsan, Gringe 3:08
12. Dernier verre (featuring The Neptunes) Skread, Chad Hugo, Pharrell Williams, Orelsan 3:23
13. Ensemble (featuring Skread) Skread, Orelsan 4:43
14. Athéna Phazz, Orelsan 2:52
15. Civilisation Skread, Orelsan 4:05

Le duo garage-psychédélique The Liminanas et Laurent Garnier le DJ/producteur pionnier de la scène électronique française signent l’album "De Pelicula". Le résultat n’est ni un disque techno de The Liminanas ni un album rock de Laurent Garnier.
C’est un fiévreux roadtrip à la poursuite de Juliette et Saul, voyous adolescents dans la tradition romantique d’A Bout de Souffle ou de Sailor et Lula, dans un sud de la France flirtant avec la frontière espagnole.
Un concept album qui n’a pas peur de prendre des libertés avec son concept. Mais « De Pellicula » n’est pas écrit qu’à six mains. Bertrand Belin a posé sa voix sur « Au début, c’était le début » dont il a aussi écrit le texte. Même chose pour « Que Calor » écrit et chanté par Eduardo Henriquez (Panico,Nova Materia), tandis qu’Ivan Telefunken ( Bel Canto Orchestra) a ajouté quelques guitares. Et pour ceux qui se poseraient la question, c’est bien la voix de Laurent Garnier qu’on entend dans « Juliette dans la caravane » ou dans « Tu tournes en boucle » au côté de celles de Lionel et Marie.

Pour son troisième album studio 'Voodoo Cello', Imany choisit de réunir huit violoncelles autour d’elle pour un album de reprises qui deviennent, sans oublier leurs racines, des chansons d’Imany au service de ses convictions. Depuis dix ans, la voix grave d’Imany séduit le public français au rythme de compositions nourries de ses inspirations Soul, Folk et Blues.

Après 8 ans d'absence et la sortie événement de son single 'Santé', Stromae fait son grand retour avec nouvel album de 12 titres, intitulé 'Multitude'.

Le groupe Metronomy nous présente leur septième album, intitulé 'Small World', un retour aux plaisirs simples de la vie, à la nature, explorant par moments des sonorités plus épurées tout en posant des questions existentielles, le ramenant d’une certaine façon à la période pendant laquelle il a été composé - soit en 2020. Une collection de titres méticuleux, recueil imparabable de chansons pop racées,démontrant le talent éternel de songwriter et d’arrangeur de Joseph Mount qui sublime un Small World ou petit monde, toujours aussi éclatant de fraîcheur. Metronomy continue de tracer son chemin sur fond de musique pop grandiose.

Avec son nouvel album, Laura Cahen signe plus qu’un deuxième album, c'est un manifeste. Une affirmation de sa personnalité artistique comme de sa sexualité. Pour ce second disque, Laura a choisi de travailler avec le producteur émérite DAN LEVY (The Do). Cet album est autobiographique et altruiste à la fois. Parmi ses influences, Beth Gibbons, Aldous Harding, Bertrand Belin, Lhasa, Kate Bush, Alain Souchon, Björk, PJ Harvey, Anne Sylvestreà Structures anglo-saxonnes, paroles francophones, expérimentations sans cesse renouvelées : l’électronique sied à merveille à l’écriture imagée, et à son timbre si particulier.

Trois ans se sont écoulés depuis l’incandescent Immanent Fire, climax de l’engagement social et environnemental d’Emily Jane White. La chanteuse californienne revient sur le devant de la scène avec Alluvion, sorti le 25 mars sur le label bordelais Talitres. Un septième album dont le logiciel musical reste globalement dans la continuité du précédent, en flirtant parfois avec des accents shoegaze et pop synthétiques. Terreau créatif, Alluvion aborde les crises successives auxquelles planète et société sont confrontées, en offrant à l’auditeur qui un espace d’introspection, qui une fenêtre cathartique. Dans cette nouvelle démonstration de lyrisme militant, Emily Jane White reste fidèle à ses lignes mélodiques en conservant toute la puissance de son verbe et la mélancolie de son expression. (www.obskure.com)

En l’espace de deux albums, Dom La Nena a su se faire un nid sur la scène musicale. Mais c’est avec le projet Birds On A Wire avec la toujours ravissante Rosemary Standley de Moriarty que le monde connaîtra réellement la violoncelliste brésilienne en 2015. Après une multitude de collaborations fructueuses, il était temps pour notre hôtesse de solidifier sa place avec son successeur tant attendu du nom de Tempo.

Voici venir treize compositions où Dom La Nena ira mêler indie folk, musique de chambre et musiques du monde pour ajouter un peu de grâce et d’allégresse dans ce monde de brutes. Armée de son instrument de prédilection et de son interprétation cotonneuse, elle livrera sa propre réflexion sur le temps qui passe avec des compositions aériennes telles que « Oiseau Sauvage » mais également « No Tengas Miedo », « Todo Tiene su Fin » et « Moreno » où l’on sent étrangement apaisé suite à sa récente maternité.

Alternant français et portugais, la délicate beauté de Dom La Nena se décline sous toutes ses formes notamment sur la collaboration si charmante avec la chanteuse mexicaine Julieta Vanegas nommée « Quien Podrá Saberlo » aux saveurs quelque peu urbaines amenant leur réflexion sur les relations du passé mais aussi sur d’autres titres somptueux à l’image de « Valsa », « Doux de Rêver » et de « Teu Coração ». Tempo est un sublime disque doux et méditatif dont des compositions chatoyantes que ce soit « Samba Para Você » et « Milonga » méritent d’être écoutés religieusement. Un troisième album attendu qui saura nous conquérir dès les premières notes. (En l’espace de deux albums, Dom La Nena a su se faire un nid sur la scène musicale. Mais c’est avec le projet Birds On A Wire avec la toujours ravissante Rosemary Standley de Moriarty que le monde connaîtra réellement la violoncelliste brésilienne en 2015. Après une multitude de collaborations fructueuses, il était temps pour notre hôtesse de solidifier sa place avec son successeur tant attendu du nom de Tempo.

Voici venir treize compositions où Dom La Nena ira mêler indie folk, musique de chambre et musiques du monde pour ajouter un peu de grâce et d’allégresse dans ce monde de brutes. Armée de son instrument de prédilection et de son interprétation cotonneuse, elle livrera sa propre réflexion sur le temps qui passe avec des compositions aériennes telles que « Oiseau Sauvage » mais également « No Tengas Miedo », « Todo Tiene su Fin » et « Moreno » où l’on sent étrangement apaisé suite à sa récente maternité.

Alternant français et portugais, la délicate beauté de Dom La Nena se décline sous toutes ses formes notamment sur la collaboration si charmante avec la chanteuse mexicaine Julieta Vanegas nommée « Quien Podrá Saberlo » aux saveurs quelque peu urbaines amenant leur réflexion sur les relations du passé mais aussi sur d’autres titres somptueux à l’image de « Valsa », « Doux de Rêver » et de « Teu Coração ». Tempo est un sublime disque doux et méditatif dont des compositions chatoyantes que ce soit « Samba Para Você » et « Milonga » méritent d’être écoutés religieusement. Un troisième album attendu qui saura nous conquérir dès les premières notes. En l’espace de deux albums, Dom La Nena a su se faire un nid sur la scène musicale. Mais c’est avec le projet Birds On A Wire avec la toujours ravissante Rosemary Standley de Moriarty que le monde connaîtra réellement la violoncelliste brésilienne en 2015. Après une multitude de collaborations fructueuses, il était temps pour notre hôtesse de solidifier sa place avec son successeur tant attendu du nom de Tempo.

Voici venir treize compositions où Dom La Nena ira mêler indie folk, musique de chambre et musiques du monde pour ajouter un peu de grâce et d’allégresse dans ce monde de brutes. Armée de son instrument de prédilection et de son interprétation cotonneuse, elle livrera sa propre réflexion sur le temps qui passe avec des compositions aériennes telles que « Oiseau Sauvage » mais également « No Tengas Miedo », « Todo Tiene su Fin » et « Moreno » où l’on sent étrangement apaisé suite à sa récente maternité.

Alternant français et portugais, la délicate beauté de Dom La Nena se décline sous toutes ses formes notamment sur la collaboration si charmante avec la chanteuse mexicaine Julieta Vanegas nommée « Quien Podrá Saberlo » aux saveurs quelque peu urbaines amenant leur réflexion sur les relations du passé mais aussi sur d’autres titres somptueux à l’image de « Valsa », « Doux de Rêver » et de « Teu Coração ». Tempo est un sublime disque doux et méditatif dont des compositions chatoyantes que ce soit « Samba Para Você » et « Milonga » méritent d’être écoutés religieusement. (Les oreilles curieuses)

Figure de proue de la scène musicale britannique, Damon Albarn fait de son dernier album une longue méditation, à la fois appel au voyage et introspection.
Cofondateur de groupes mythiques, Blur et Gorillaz entre autres, Damon Albarn est un compositeur immanquable de l’industrie musicale actuelle. Son deuxième opus solo à strictement parler, ôThe Nearer The Fountain, More Pure The Stream Flowsô, s’offre comme une expérience complète, pleinement héritée de l’atmosphère morose du confinement. (Beware!)